Je serai la voûte de ton espoir

Quand les jours perdent leur lumière
Et le deuil t'abandonne en détresse
Je me transformerai en vaste rivière
Que tu puisses y plonger tes ténèbres
Je serai la marche des temps infinis
Et le chemin travers tous les pourquoi
Je me changerai en mille caresses
pour enlever et dissoudre toutes tes peurs.

Je serai l'endroit où tu puisses pleurer
L'ultime adieu du dernier souffle soulagé
Tu trouveras consolation et réconfort
Je serai la voûte de ton espoir.

Chouette madame et

je voudrais ecrire comme vous.

Vive la Poésie

petit flatteur,

vous êtes bien le maître des poètes entre nous – et vous le savez bien!

Votre oeuvre aspire la réflexion profonde de votre esprit sur ce humble monde fragile à nous qui a bien besoin de poète-bouffons à la Cour de ce royaume humain.

Les poète-bouffons ainsi que les poète-peintres qui font le portrait de leurs pensées et de leurs sentiments dans leurs poèmes…

Vive la Poésie!

Le petit poème là-haut, je l’ai écrit pour l’homme qui habite mon cœur – poète comme vous et moi. Vous le connaissez et je voulais qu’il sache : il n’est pas seul, quoi-qu’il arrivera…

Femi

Werte Kollegin - ma cherie

Je ne suis pas le maitre de poetes, mais je croix, je suis le maitre de bouffons ici.

Effectifement personne ecrit Francais comme vous en pays Lupanies. J'ai raison, madame! Est-ce que vous etes Francaise?


"...je l’ai écrit pour l’homme qui habite mon cœur"

Cette simple phrase c'est plus elégant que la meme phrase:

"...ich habe es für den Mann meines Herzens geschrieben"

J'aimes France, la longue, la vie....

Schönen Tag noch, werte Kollegin!

Française

Cher collègue maître-bouffon!

Ne ne, isch bin janz und jar nischt "Française", sondern komm von frankophil angehauchten westlichen Niederhein (zwischen Düsseldorf und Köln).

La France, sa langue, son art de vivre, ses vins, ses mille soleils dans le Midi, cette vieille maîtresse capricieuse toujours jeune au nom de Paris...je m'y sens tellement bien que j'en d'écris mes images.

Mais quand tous les images ne suffisent pas, j'écris en Persan, pour moi la reine des langues avec son jardin de fleur-mots pour y cueillir mes poèmes...

Salut

Femi

La France, sa langue, son art de vivre, ses vins, ses mille soleils dans le Midi, cette vieille maîtresse capricieuse toujours jeune au nom de Paris...je m'y sens tellement bien que j'en d'écris mes images.

Dat hamse abber schön jesacht,
Gruß aus dem sonnigen D-dorf, le petite Paris!

Gruß zurück aus der sonnigen kleinen linksrheinischen!!!Schwester Neuss (näher an la douce belle France)

Als eingefleischtes Kind des linken Niederrheins bekam ich schon mit der Muttermilch die Grundfesten wahrer Demokratie und die hohe Schule der hohen Hofnarrenschule eingeflößt:

1. "Jibbet nich, jibbet nich!"
2. "Jeder Jeck is anders. Jott sei Dank!"

In diesem Sinne:

Vive la tolérance!

On se lira, promis

Femi